C'est officiel maintenant. Je déclare le Divan Orange comme mon nouveau chez-moi nocturne. Pas que j'y suis si souvent (y'a sûrement des gens encore plus habitués), mais plutôt que jme retrouve souvent attirée par cet endroit. Et qu'à date, j'y ai jamais eu de mauvaises soirées.
D'ailleurs, les deux dernières soirées passées là-bas avaient tout pour me charmer.
Première d'un doublé soirée, le jeudi 3 juillet, avec Les Mystiks Motorcycles et Les Secrétaires Volantes.
À la base, j'y allais pour les Mystik. Sont des amis (donc oui, ma capacité de jugement ici est peut-être biaisée), et ça faisait près de 6 mois que je les avais pas vus, donc j'm'ennuyais de ces jolis garçons en stretch pants ;)
Honnêtement, jles ai déjà vus plus tights (le drummer étant de ce côté ci de l'Atlantique pendant quelques mois alors que le reste du band est encore dans sa France natale aide pas beaucoup pour les pratiques...) mais on leur pardonne, vu les nouvelles pièces.
Anyway, ce que les Mystiks n'ont pas en tightness, ils le compensent avec le look. On a beau leur reprocher de trop jouer sur cet aspect (c'est pas moi qui ai dit ça!), reste que des bands qui ont une telle présence sur scène, ça se trouve pas à tous les coins de rue. Ils sont en tournée un peu partout au Québec au cours de l'été, et seront de retour à l'Esco le 17 juillet avec Abstract Artimus.
Au tour des Secrétaires Volantes maintenant. Perso, je savais pas vraiment à quoi m'attendre. J'suis trop jeune pour les avoir connu (en 1997 j'entrais au secondaire...), mais jme suis fait dire que je devais ABSOLUMENT les voir, ne serait-ce que parcequ'il s'agit d'un groupe mythique.
Alors que ça sentait la nostalgie à plein nez au Divan (ok je pourrais ici commencer une série de blagues douteuses sur le fait de se mettre de quoi dans le nez, mais j'vous épargne ça...) le band fait son apparition sur scène. Bien entendu, du haut de mes 5 pieds trois, je voyais pas grand chose alors jsuis allée me réfugier dans le dj booth, où là j'ai pu apprécier le show à sa juste valeur.
Du bon gros rock old school là, trash comme seul les vrais rockers savent le faire, tant dans le son que dans la présence sur scène. J'en ai eu plein la gueule et plein les tympans. C'est que malgré le hiatus des secrétaires volantes, les membres du band ont continué leur bout de chemin, c'qui fait que même si le groupe était en pause, les musiciens n'ont pas perdu l'habitude de la scène, et ça se sentait.
Ne serait-ce que parce que le Divan était en feu, la chaleur était insupportable, masi également le public, qui, probablement poussé par la nostalgie, nous ont donné droit à un très joli mosh-pit. Mention également à la fille qui faisait du crowd-surfing sans se faire couper une extrémité par la fan du plafond.
Bref, une énergie brute qui m'a flabbergastée, et qui m'a rapidement fait comprendre pourquoi ce band a tant marqué la scène rock Québécoise. Soirée un de deux.
Je vous reviens avec la suite plus tard en journée...
D'ailleurs, les deux dernières soirées passées là-bas avaient tout pour me charmer.
Première d'un doublé soirée, le jeudi 3 juillet, avec Les Mystiks Motorcycles et Les Secrétaires Volantes.
À la base, j'y allais pour les Mystik. Sont des amis (donc oui, ma capacité de jugement ici est peut-être biaisée), et ça faisait près de 6 mois que je les avais pas vus, donc j'm'ennuyais de ces jolis garçons en stretch pants ;)
Honnêtement, jles ai déjà vus plus tights (le drummer étant de ce côté ci de l'Atlantique pendant quelques mois alors que le reste du band est encore dans sa France natale aide pas beaucoup pour les pratiques...) mais on leur pardonne, vu les nouvelles pièces.
Anyway, ce que les Mystiks n'ont pas en tightness, ils le compensent avec le look. On a beau leur reprocher de trop jouer sur cet aspect (c'est pas moi qui ai dit ça!), reste que des bands qui ont une telle présence sur scène, ça se trouve pas à tous les coins de rue. Ils sont en tournée un peu partout au Québec au cours de l'été, et seront de retour à l'Esco le 17 juillet avec Abstract Artimus.
Au tour des Secrétaires Volantes maintenant. Perso, je savais pas vraiment à quoi m'attendre. J'suis trop jeune pour les avoir connu (en 1997 j'entrais au secondaire...), mais jme suis fait dire que je devais ABSOLUMENT les voir, ne serait-ce que parcequ'il s'agit d'un groupe mythique.
Alors que ça sentait la nostalgie à plein nez au Divan (ok je pourrais ici commencer une série de blagues douteuses sur le fait de se mettre de quoi dans le nez, mais j'vous épargne ça...) le band fait son apparition sur scène. Bien entendu, du haut de mes 5 pieds trois, je voyais pas grand chose alors jsuis allée me réfugier dans le dj booth, où là j'ai pu apprécier le show à sa juste valeur.
Du bon gros rock old school là, trash comme seul les vrais rockers savent le faire, tant dans le son que dans la présence sur scène. J'en ai eu plein la gueule et plein les tympans. C'est que malgré le hiatus des secrétaires volantes, les membres du band ont continué leur bout de chemin, c'qui fait que même si le groupe était en pause, les musiciens n'ont pas perdu l'habitude de la scène, et ça se sentait.
Ne serait-ce que parce que le Divan était en feu, la chaleur était insupportable, masi également le public, qui, probablement poussé par la nostalgie, nous ont donné droit à un très joli mosh-pit. Mention également à la fille qui faisait du crowd-surfing sans se faire couper une extrémité par la fan du plafond.
Bref, une énergie brute qui m'a flabbergastée, et qui m'a rapidement fait comprendre pourquoi ce band a tant marqué la scène rock Québécoise. Soirée un de deux.
Je vous reviens avec la suite plus tard en journée...
